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  • S’EPANOUIR SUR SON LIEU DE TRAVAIL: Les clés du succès

    Une formation continuelle vous permet d’évoluer et d’enrichir vos compétences. N’hésitez pas de solliciter vote employeur

    La communication est essentielle dans la vie professionnelle. Exprimer ses idées, ses doutes ou ses limites avec bienveillance et clarté aide à éviter les malentendus. Choisir le bon moment et le bon ton, tout en restant aligné avec soi-même, favorise un climat de confiance, améliore la coopération et réduit les tensions.

    L’environnement matériel influence directement le confort et la productivité. Un bureau organisé, du mobilier adapté, une lumière naturelle et des touches personnelles améliorent l’espace de travail. Un cadre agréable réduit la fatigue, stimule la créativité et favorise la concentration.

    Reconnaître ses accomplissements, même modestes, est essentiel pour renforcer l’estime de soi. Célébrer une réussite, remercier un collègue ou s’accorder une pause valorisante crée une dynamique positive. De plus, les erreurs ne sont pas des échecs, mais des opportunités d’apprentissage. Une analyse bienveillante permet de s’améliorer et d’acquérir de l’expérience.

    …et pour finir, quelques liens pour encore plus de détails..

    Comment
    calmer l’anxiété
    Travailler en
    se formant
    Être zen
    au travail

    Honorine & Dave

  • Le Burn-out au Travail : comment s’en sortir ?

    De la Définition aux Stratégies

    Le burn-out, ou syndrome d’épuisement professionnelle désigne un état de fatigue intense, d’épuisement émotionnel et de désengagement causé par un stress chronique au travail. Il se caractérise par une perte de motivation, une baisse d’efficacité et un sentiment de détachement vis-à-vis de ses responsabilités. Reconnu comme un véritable trouble lié au travail, il nécessite une prise en charge adaptée, tant su le plan individuel qu’organisationnel, pour prévenir ses conséquences sur la santé mentale et physique.

    Le burn-out se manifeste à travers trois dimensions interdépendantes :

    • L’épuisement émotionnel: Caractérisé par un sentiment de fatigue intense, de manque d’énergie et de ressources émotionnelles pour faire face aux exigences du travail. Les individus se sentent vidés, frustrés et irritables.
    • La dépersonnalisation : Elle se traduit par une attitude négative, distante et indifférente envers le travail, les collègues et les bénéficiaires des services (clients, patients, etc.). Les individus peuvent devenir cyniques, se montrer froids et objectiver les autres.
    • La réduction de l’accomplissement personnel: Elle se manifeste par un sentiment de compétence et de succès diminué dans son travail. Les individus se perçoivent comme inefficaces, manquant de productivité et ayant peu d’impact. Des études ont lié cette dimension à une faible estime de soi professionnelle et à un manque de reconnaissance au travail.

    Comment Arrive-t-on au Burn-out ? Un Processus Multifactoriel

    Il est important de distinguer le burn-out de la dépression, bien qu’ils partagent certains symptômes. Le burn-out est spécifiquement lié au contexte professionnel, tandis que la dépression est un trouble de l’humeur généralisé. Cependant, un burn-out non traité peut augmenter le risque de développer une dépression.

    L’émergence du burn-out est rarement due à une seule cause, mais plutôt à une interaction complexe de facteurs individuels, interpersonnels et organisationnels.

    Facteurs Organisationnels :

    • Surcharge de travail quantitative et qualitative : Avoir trop de travail à faire dans un délai trop court, ou des tâches dépassant les compétences et les ressources disponibles. Des études ont montré une corrélation significative entre la surcharge de travail et l’épuisement émotionnel.
    • Récompenses insuffisantes : Un déséquilibre entre les efforts fournis et les récompenses reçues (salaire, reconnaissance, promotion). Le modèle de déséquilibre effort récompensé met en évidence le rôle de ce déséquilibre dans le développement du stress et du burn-out.
    • Rupture de la communauté de travail : Des relations conflictuelles avec les collègues ou la hiérarchie, un manque de soutien social au travail. Le soutien social est un tampon important contre le stress.

    Facteurs Individuels :

    • Perfectionnisme : Des attentes irréalistes envers soi-même et une tendance à la critique excessive.
    • Engagement excessif : Une implication compulsive et excessive dans le travail, souvent associée à une difficulté à se déconnecter.

    Facteurs Interpersonnels :

    • Exigences émotionnelles élevées : Travailler en contact constant avec des personnes en détresse ou gérer des situations émotionnellement chargées (professions de l’aide, de la santé, de l’enseignement).
    • Conflits interpersonnels : Des tensions et des désaccords fréquents avec les collègues, les supérieurs ou les clients.

    Le burn-out se développe souvent de manière progressive. Les premiers signes peuvent être subtils : une fatigue inhabituelle, une irritabilité accrue, des difficultés de concentration. Progressivement, ces symptômes s’intensifient et peuvent mener à des conséquences plus graves sur la santé physique et mentale (troubles du sommeil, douleurs chroniques, anxiété, dépression

    Stratégies de Prévention et de Gestion du Burn-out

    La prévention du burn-out est essentielle et implique des actions à différents niveaux : individuel, interpersonnel et organisationnel.

    Stratégies Organisationnelles :

    • Réorganisation du travail : Améliorer la clarté des rôles, réduire la surcharge de travail, augmenter l’autonomie et le contrôle des employés.
    • Amélioration de la communication et du soutien social : Favoriser un environnement de travail collaboratif, encourager le soutien entre collègues et offrir des canaux de communication ouverts avec la direction.
    • Formation et sensibilisation : Informer les employés et les managers sur le burn-out, ses symptômes et les stratégies de prévention. Proposer des formations sur la gestion du stress et la communication interpersonnelle.

    Stratégies Interpersonnelles :

    • Développement des compétences en communication : Apprendre à exprimer ses besoins et ses limites de manière assertive.
    • Recherche de soutien social : Cultiver des relations positives avec les collègues, les amis et la famille. Parler de ses difficultés peut aider à réduire le sentiment d’isolement.
    • Gestion des conflits : Développer des stratégies pour résoudre les désaccords de manière constructive.

    Stratégies Individuelles :

    • Gestion du temps et des priorités : Apprendre à organiser son travail, à déléguer et à fixer des limites réalistes.
    • Techniques de gestion du stress : Pratiquer la relaxation (méditation, yoga, respiration profonde), l’exercice physique régulier et avoir un sommeil de qualité.
    • Développement de l’intelligence émotionnelle : Apprendre à identifier et à gérer ses propres émotions, ainsi qu’à comprendre et à répondre aux émotions des autres.

    Le Chemin du Retour au Travail : Un Processus Graduel et Personnalisé

    Le retour au travail après un burn-out est une étape délicate qui nécessite une approche progressive et adaptée à chaque individu. Un retour précipité ou non préparé peut entraîner une rechute.

    • Stabilisation et récupération : La priorité initiale est de se reposer, de se ressourcer et de retrouver un équilibre physique et émotionnel. Cela peut impliquer un arrêt de travail prolongé, des activités relaxantes, un soutien psychologique et éventuellement un traitement médical.
    • Évaluation des facteurs déclencheurs : Identifier les facteurs organisationnels, interpersonnels et individuels qui ont contribué au burn-out est crucial pour éviter une récidive. Cela peut se faire par une introspection personnelle, des discussions avec un thérapeute ou des échanges avec l’employeur (si celui-ci est ouvert à une démarche constructive).
    • Planification du retour progressif : Établir un plan de reprise du travail progressif, en commençant par des tâches moins exigeantes et un temps de travail réduit. Ce plan doit être élaboré en collaboration avec le médecin traitant, le thérapeute et l’employeur (médecin du travail, responsable RH).

    Voici quelques conseils pour prévenir le burn-out et favoriser un environnement de travail sain :

    • Établir des limites claires entre la vie professionnelle et la vie personnelle Définir des horaires de travail raisonnables et s’efforcer de les respecter. Se déconnecter du travail en dehors des heures de bureau est crucial pour la récupération.
    • Prendre soin de sa santé physique et mentale : Adopter une alimentation équilibrée, faire de l’exercice régulièrement et dormir suffisamment. Accorder du temps aux activités relaxantes et aux loisirs.
    • Développer des stratégies de gestion du stress efficaces : Identifier ses propres signaux de stress et mettre en place des techniques pour y faire face (respiration, méditation, activité physique).

    -Joan Borysenko, psychologue américaine à dit:

    Le burn-out ne survient pas parce que nous faisons trop, mais parce que nous essayons de faire tout cela sans respecter nos limites.

    Conclusion :

     » Le burn-out est un trouble sérieux lié au travail, causé par un stress chronique. Sa prévention passe par des actions à tous les niveaux, et le retour au travail demande un accompagnement adapté. Favoriser le bien-être au quotidien permet de réduire les risques et de protéger la santé mentale des travailleurs « .

    Liens : Burn-out Click & OMS Burn-out

    Article écrit par Jihane et Johel

  • Les logiciels de comptabilité les plus utilisés en Suisse

    En Suisse, la gestion comptable repose sur des outils performants, adaptés aux exigences fiscales et administratives locales. Voici une présentation des logiciels les plus utilisés.

    Dans une entreprise, il est attendu que le logiciel comptable remplisse plusieurs fonctions. Les entreprises utilisent pour cela des ERP (Entreprise Ressource Planning, progiciel de gestion intégré). Ce sont des logiciels qui regroupent de nombreuses options pour simplifier les processus commerciaux :

    • la comptabilité
    • les devis et la facturation
    • le suivi des finances
    • la préparation des déclarations fiscales
    • la gestion des salaires
    • la gestion des inventaires et des commandes

    D’autres paramètres sont à prendre en compte : la compatibilité avec l’environnement informatique de l’entreprise et de ses partenaires, le prix, l’assistance technique offerte par le fournisseur…

    La Suisse se distingue par des régulations, une fiscalité et une monnaie différentes de ses voisins européens. C’est pourquoi la plupart des ERP populaires en Suisse sont développés par des entreprises locales.

    En Suisse romande, ces cinq logiciels sont prisés par les professionnels :

    • Crésus
    • Winbiz
    • Bexio
    • Abacus
    • SAP

    Crésus

    Développé depuis 1994 par la société suisse Epsitec SA, Crésus est très bien implanté dans la sphère professionnelle romande. L’entreprise revendique plus de 350 000 utilisateurs et 700 fiduciaires. Il est disponible à la location à partir de 20.- par mois, ou à l’achat à partir de 600.-.

    Public cibleindépendants, PME, fiduciaires
    Fonctionnalités clésComptabilité générale, salaires, TVA
    Intégration avec Crésus salaires et facturation
    Bouclement annuels automatisés
    Points fortsLogiciel Suisse simple, efficace et reconnu

    Winbiz

    Egalement développé par une entreprise locale depuis les années 90, Winbiz revendique plus de 50 000 clients dont plus de 1 000 fiduciaires. Il est cependant plus couteux, avec un abonnement mensuel à 79.-.

    Public ciblePME, startup
    Fonctionnalités clésComptabilité, facturation, gestion des salaires
    Gestion commerciale
    Synchronisation bancaire
    Points fortsVersion en ligne (Winbiz Cloud)

    Bexio

    Bexio est un acteur plus recent du marché des ERP suisse. Start-up suisse fondée en 2013 par trois amis, l’entreprise Bexio a rapidement attirée l’attention grace à la fluidité d’utilisation de son produit, remportant de nombreux prix. Bexio est accessible à partir de 35.- par mois pour un utilisateur seul.

    Public cibleIndépendants, Startups, petites entreprises
    Fonctionnalités clésComptabilité simplifiée
    Facturation et gestion des contacts
    Connexion directe aux banques suisses
    Points fortsSolution 100% en ligne, intuitive et moderne 

    Abacus

    Développé par Abacus Research SA depuis 1985, Abacus s’adresse à des sociétés de plus grande taille. Moins facile à prendre en main, il dispose de fonctions financières avancées. L’entreprise revendique plus de 60 000 clients.

    Public cibleMoyennes et grandes entreprises
    Fonctionnalités clésComptabilité, RH, gestion des salaires
    CRM, ERP
    Très modulable selon les besoins
    Points fortsLogiciel Suisse complet certifié Swissdec 

    SAP

    Développé par l’entreprise allemande du même nom, SAP s’adresse aux très grandes structures. L’entreprise a été fondée en 1972 par cinq anciens employés d’IBM. SAP est un pionnier de l’ERP, leader mondial aux cotés d’Oracle et de Microsoft.

    Public cibleGrandes entreprises, multinationales
    Fonctionnalités clésComptabilité financière,
    gestion des achats, RH, production
    Points fortsCentralisation des processus,
    reporting détaillé

    Conclusion

    Pour choisir un logiciel comptable en Suisse, tout dépend de la taille de l’entreprise, du budget et de des préférences en matière de gestion. Une solution adaptée existe pour tous.

  • IA au travail : menace ou opportunité ?

    « L’intelligence artificielle n’est pas l’ennemie de l’humain. Elle peut être un catalyseur puissant pour l’innovation, la productivité et la création d’emplois. »

    Sundar Pichai, CEO de Google

    Pour accompagner la transformation numérique, la Suisse propose plusieurs programmes de formation en intelligence artificielle. Par exemple, l’Institut de formation des adultes de Genève (Ifage) offre une gamme de cours, notamment « Développeur d’intelligence artificielle appliquée » ou « Chef de projet IA », qui permettent aux professionnels d’acquérir des compétences concrètes et adaptées aux besoins actuels du marché.

    De plus, l’Université de Genève propose une session intitulée « Intelligence artificielle : une perspective pragmatique pour les institutions », visant à aider les organisations à identifier les opportunités offertes par l’IA et à les intégrer efficacement dans leurs processus.

    Ces initiatives reflètent l’engagement de la Suisse à préparer sa main-d’œuvre aux défis et opportunités liés à l’IA.

    L’intelligence artificielle n’est ni une menace absolue, ni une solution miracle. Elle redessine le paysage professionnel, impose de nouveaux défis, mais offre aussi des opportunités inédites. L’enjeu est clair : anticiper, s’adapter, se former. C’est par la cohabitation intelligente entre l’humain et la machine que le monde du travail de demain pourra s’épanouir.


  • DRESS CODE AU TRAVAIL

    Le dress code au travail en Suisse : entre discrétion, professionnalisme et diversité culturelle

    La Suisse, connue pour sa rigueur, son multiculturalisme et son sens du professionnalisme, applique également ces principes à la manière de s’habiller au travail. Si le pays n’impose pas de normes vestimentaires strictes et universelles, certaines tendances se dégagent selon les secteurs, les régions linguistiques et la culture d’entreprise.

    Un dress code généralement sobre et soigné

    En règle générale, les Suisses privilégient une tenue sobre, propre et discrète. L’élégance ne s’exprime pas par l’ostentation, mais par la qualité des vêtements, leur ajustement et leur adéquation au contexte professionnel. Dans les bureaux, on évite les couleurs criardes,

    les vêtements trop décontractés ou trop voyants. Dans les secteurs tels que la finance, le droit ou les assurances – un code vestimentaire formel est souvent de rigueur : costume cravate pour les hommes, tailleur ou tenue professionnelle équivalente pour les femmes.

    Marc, 45 ans, gestionnaire de de fortune dans une banque à Genève :

    « Même si notre entreprise ne nous l’impose pas noir et blanc, le costume est un standard ici. Nous représentons la stabilité, la confiance. On attend de nous une apparence impeccable »

    Une flexibilité dans les secteurs créatifs et technologiques

    Dans les milieux plus créatifs, comme le design, le marketing ou les startups technologiques, les règles vestimentaires sont beaucoup plus souples. Il n’est pas rare de voir des employés

    porter des jeans, des baskets et des t-shirts, tant que leur apparence reste soignée et professionnelle. L’important est de refléter l’esprit de l’entreprise sans tomber dans la négligence.

    Lisa, 52 ans, cheffe de projet à Lausanne :

    « Je viens en baskets, sweat et jean. Ce qui compte, c’est le travail, pas la tenue. Mais pour les rendez-vous clients, je m’adapte. »

    https://www.hunteed.com/blog/dress-code-au-travail

    L’influence de la diversité culturelle et régionale

    La Suisse étant un pays multiculturel, les codes vestimentaires peuvent aussi varier d’une région à l’autre. La Suisse alémanique tend à adopter une approche plus conservatrice et formelle, tandis que la Suisse romande et la Suisse italienne sont parfois un peu plus souples en matière d’apparence au travail.

    La diversité culturelle au sein des équipes pousse également les employeurs à faire preuve de tolérance et de flexibilité, notamment en ce qui concerne les tenues religieuses ou traditionnelles, tant que cela ne contrevient pas aux exigences de sécurité ou d’image de l’entreprise.

    Le télétravail et l’évolution des normes

    Avec la montée du télétravail, le dress code a aussi évolué. Si beaucoup ont adopté une tenue plus confortable à la maison, les visioconférences rappellent

    que l’image reste importante. Il est donc recommandé de porter une tenue correcte, notamment lors de réunions virtuelles.

    S’habiller au travail en Suisse, c’est faire preuve de :

    • juste équilibre entre professionnalisme, bon sens et authenticité
    • adaptation au contexte, à la culture d’entreprise et au poste occupé.

    Ce n’est pas la marque des vêtements qui compte, mais l’allure générale, le respect du lieu et la cohérence avec ce qu’on incarne.

    Écrit par Salomé et Yulia

  • L’intégration d’un nouveau collaborateur : un enjeu clé pour la réussite de l’entreprise.

    L’intégration d’un nouveau collaborateur : un enjeu clé pour la réussite de l’entreprise.

    L’intégration d’un nouvel employé est une étape stratégique qui dépasse le simple accueil et constitue un véritable levier de performance pour l’entreprise. Elle vise à faciliter l’adaptation du collaborateur à son poste, à la culture organisationnelle et à l’équipe, tout en transmettant les valeurs, pratiques et codes propres à l’entreprise. Une intégration bien pensée renforce la cohésion au sein des équipes, installe un climat de confiance et de reconnaissance, et améliore la productivité globale.

    Un processus structuré d’intégration joue également un rôle clé dans la fidélisation des talents. En réduisant le sentiment d’isolement et en répondant aux premières interrogations, il limite les risques de départ prématuré, souvent causés par un manque de repères. En se sentant soutenus et valorisés, les nouveaux collaborateurs deviennent rapidement opérationnels et contribuent à la performance collective.

    Ainsi, l’intégration d’un nouvel arrivant est bien plus qu’une formalité : c’est une phase stratégique qui impacte directement la dynamique et l’efficacité des équipes. Elle assure le bien-être des employés, renforce l’identité de l’entreprise, et garantit une stabilité essentielle pour pérenniser les investissements en recrutement.

    Vous trouverez les points principaux dans le tableau ci-dessous :

    Facilite l’adaptationElle permet au nouvel employé de comprendre rapidement son rôle, les attentes et le fonctionnement de l’entreprise.
    Renforce la motivationUn accueil bien organisé donne une première impression positive et motive l’employé à s’investir dès le départ.
    Améliore la rétentionLes employés bien intégrés sont plus enclins à rester dans l’entreprise sur le long terme, réduisant ainsi le taux de turnover.
    Optimise la performanceEn ayant les bonnes informations, les bons outils et un accompagnement dès le début, le nouvel employé devient productif plus rapidement.
    Favoriser une bonne ambiance de travailUne intégration bien pensée favorise les échanges avec les collègues, ce qui aide à créer un bon climat social et un esprit d’équipe.

    Préparer et accueillir le nouveau collaborateur :

    Une intégration réussie commence avant le premier jour et se prolonge par un accueil chaleureux. Il est essentiel de :

    • Préparer son matériel (ordinateur, badge, accès aux logiciels).
    • Informer l’équipe de son arrivée pour favoriser l’accueil.
    • Mettre en place un plan d’intégration détaillé pour clarifier les attentes, les objectifs et les premières étapes.

    Une communication claire et une présentation soigneuse de l’équipe et des services sont cruciales. Un premier échange avec le manager, ainsi que l’attribution d’un mentor ou référent, aident le nouveau collaborateur à comprendre la culture d’entreprise, poser ses questions et s’intégrer efficacement

    Une formation progressive pour une prise de poste efficace:

    Une intégration réussie ne se limite pas au premier jour. Le processus doit se poursuivre avec une montée en compétences progressive.

    Un onboarding efficace passe par une formation adaptée :

    • Mettre à disposition un guide d’accueil et des ressources clés.
    • Organiser des sessions de formation sur les outils et processus internes.
    • Encourager les échanges pour répondre à ses questions rapidement.

    Des sessions de formation initiales faciliteront son adaptation et l’assimilation des méthodes de travail. Un dialogue régulier lui permettra de poser des questions et de clarifier ses doutes.

    Créer du lien et partager la culture d’entreprise:

    L’intégration sociale est essentielle pour motiver et engager un collaborateur. Des moments informels, le partage des valeurs de l’entreprise et une implication rapide dans des projets renforcent son appartenance et son investissement.

    Suivre l’évolution et ajuster le processus d’intégration:

    L’intégration ne se limite pas à la première semaine. Il est essentiel de suivre l’évolution du collaborateur via des points réguliers pour recueillir son ressenti, identifier d’éventuelles difficultés et ajuster le processus en conséquence. Une approche proactive garantit une montée en compétences fluide et une intégration réussie.

    Conclusion:

    Une intégration bienveillante et structurée conditionne l’engagement et la performance du collaborateur. En optimisant ce processus, l’entreprise favorise une collaboration durable et assure que chaque employé soit rapidement à l’aise et prêt à contribuer à la réussite collective.1

    Pour conclure, vous aurez ci-dessous une vidéo qui explique comment intégrer un collaborateur:

    1. https://www.kelio.ch/fr/ressources/blog/465-3-etapes-cles-pour-reussir-le-parcours-d-integration-d-un-nouveau-collaborateur.html ↩︎
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