
COMMENT SE TRANSMETTENT LES CORONAVIRUS ?
Par transmission des gouttelettes Projetées lorsqu’une personne infectée tousse ou éternue (principal mode de transmission) | En se touchant les yeux, la bouche, ou le nez après avoir été en contact avec une surface contaminée. |

Temps de survie maximale de différents coronavirus sur des surfaces non désinfectées
(à température ambiante ou 20°C)

HCoV (coronavirus humains), MERS-CoV (coronavirus du syndrome respiratoire du Moyen-Orient) et SARS-CoV (coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère).
Sources :
ministère de la santé, oms « the journal of hospital infection »
(étude basée sur les précédents types de coronavirus).
Recommandation
faites par l’Office fédéral de la santé publique SFSP
Voici Comment nous protéger :
Confédération Suisse
- Se laver soigneusement les mains
- Tousser et éternuer dans un mouchoir ou dans le creux du coude
- Jeter les mouchoirs usagés dans une poubelle fermée.
- Éviter les poignées de mains
- En cas de fièvre et de toux, rester à la maison
- Toujours téléphoner avant d’aller chez le médecin ou aux urgences.
L’épidémie du Coronavirus a débuté en décembre 2019 dans la ville de Wuhan, en Chine centrale.
Ce virus en cause est le COVID-10 et est causé par un virus de la même famille que le coronavirus et le Sars-CoV-2
La transmission du virus a été confirmé le 23 janvier 2020 par l’Organisation mondiale de la santé et la transmission s’effectue par l’inter-humain. Au début de l’épidémie, le nombre de personnes infectées n’était pas connu avec exactitude.
Pour contrer le virus, le gouvernement de la République populaire de Chine a mis en œuvre des moyens lourds de confinement des personnes, en mettant plusieurs métropoles et des grandes villes en quarantaine ainsi que les centres commerciaux et sites publiques. Il a déployé d’importantes procédures sanitaires pour contrer l’épidémie.
L’état d’urgence sanitaire est prononcé par l’OMS le 30 janvier 2020.
En Chine continentale, le nombre de malades a augmenté rapidement : d’abord limité à quelques dizaines de cas, puis des centaines le 18 janvier 2020, le millier le 25 janvier, la dizaine de milliers le 31 et la cinquantaine de milliers dès le 13 février 2020
A partir du 13 janvier les premiers cas hors Chine continentale sont apparus et à la fin de ce même mois vingt-cinq pays était touchés. Le nombres de personnes infectées est vite monté à plus de 1’500 personnes dès la mi-février
Ce virus s’est propagé en Italie le 31 janvier par deux touristes Chinois. C’est le 3ème pays le plus infecté après la Chine et la Corée. Cependant l’Italie a été l’un des deux seuls pays d’Europe à suspendre tout vol direct à destination et en provenance de la République populaire de Chine.
Un exemple de mesure pris dans un EMS (établissement médico -social)
- Précautions de contact sans isolement
- Pour les femmes de ménage
Le port de gants est OBLIGATOIRE dans les chambres
Jeter les gants AVANT de sortir de la chambre et se désinfecter les mains
Nettoyer et désinfecter les poignées de porte et les interrupteurs 2 X par jour
- Précaution de contact sans isolement
- Pour les soignants
Port de la blouse et de gants OBLIGATOIRE pour tous les soignants en contact avec des souillures
Jeter la blouse et les gants et se désinfecter les mains AVANT de sortir de la chambre
Nettoyer et désinfecter le matériel auxiliaire les plus adaptables et les barrières de lit 1 X jour
Evacuer les poubelles après le soin, ne pas laisser dans les chambres du matériel souillés.

RHUME ET ETERNUEMENTS
=
Masque de protection obligatoire , c’est du bon sens.
Un exemple de mesure pris dans une entreprise internationale
Si des mesures supplémentaires s’imposent, l’Office fédéral de la santé publique (l’OFSP) communiquera de nouvelles règles d’hygiène et de conduite en recourant à une série de pictogrammes. De plus, la couleur des supports publiés passera du jaune au rouge pour clairement signaler qu’il s’agit d’une nouvelle vague d’informations.
Certaines entreprises internationales prient leurs employés qui se seraient rendus dans les régions à risque d’Italie ces 10 derniers jours de travailler depuis la maison. Si ça n’est pas possible, ces collaborateurs doivent éviter de se retrouver dans une zone confinée avec d’autres collègues, comme une salle de conférences ou un bureau.
Le personnel est aussi invité à ne pas se rendre à titre privé dans les zones à risque, comme l’Italie, la Chine, Hong Kong ou encore la Corée du Sud. Ceux qui ne respectent pas cette directive pourront se voir imposer une mesure de quarantaine de 14 jours, qu’il y ait des symptômes de coronavirus ou non.
Une quarantaine qui sera prise sur leur temps de vacances.
Les employés seront aussi soumis à des contrôles de température à l’entrée du bâtiment principal à Serrières. Ils sont appelés à éviter les contacts avec leurs collègues, que ce soit sous forme de poignée de mains ou de bise.
Tout voyage à l’étranger pour le compte de l’entreprise doit par ailleurs recevoir l’aval de celle-ci.
Préparation des plans et moyens de secours, pour se prémunir d’une pandémie. Selon l’OMS
Plan OMS d’alerte
Ceci est un exemple, basé sur l’épidémie grippale de 2009. Et qui reste valable pour les pandémies à venir. Tels que le Coronavirus (COVID19) de 2020.en provenance de Wuhan en Chine
Ce sont les phases d’alerte diffusées par l’OMS aux différents organismes nationaux de santé.
Dans la révision 2009 de la description des phases, l’OMS a conservé la formule en six phases pour pouvoir incorporer plus facilement les nouvelles recommandations et stratégies dans les plans nationaux de préparation et d’action existants. Le regroupement et la description des phases de pandémie ont été révisés de façon qu’elles soient plus faciles à comprendre, plus précises et basées sur des phénomènes observables.
Les phases 1 à 3 concernent la préparation.
Notamment aux activités de développement des moyens d’action et de planification des interventions en fonction des données récoltées sur le terrain par les différents acteurs de santé.

Les phases 4 à 6 indiquent clairement la nécessité d’engager des efforts de riposte contre la pandémie et d’atténuation de ses effets.
En outre, les périodes qui suivent la première vague pandémique sont explicitées afin de faciliter les activités de remise en état après la première vague de la pandémie. Cela passe par une large information au public par les médias et les autorités.
Par exemple : La phase OMS d’alerte à la pandémie en vigueur, pour l’année 2009 a atteint la phase 6 (phase 5.A en France).
En effet, chaque pays adapte le niveau d’alerte en fonction de la situation sanitaire sur son propre territoire.
Phase 1 : Les virus circulent continuellement chez les animaux, en particulier chez les oiseaux. Bien que ces virus puissent théoriquement évoluer en des virus à caractère pandémique, dans cette phase, aucun cas d’infection chez l’homme due à un virus circulant chez les animaux n’a été signalé.
(Courant avril 2009, le virus grippal A H1N1 a été transmis d’un oiseau à un porc)
Phase 2 : on sait qu’un virus grippal animal circulant chez des
animaux domestiques ou sauvages a provoqué des infections chez l’homme et est
de ce fait considéré comme constituant une menace potentielle de pandémie.
(Ce premier cas est extrêmement difficile à retrouver et peut très facilement passer pour un virus grippal normal.)
Phase 3 : un virus grippal réassorti animal ou humain animal a été
à l’origine de cas sporadiques ou de petits groupes de cas de maladie dans la
population, mais n’a pas entraîné de transmission interhumaine suffisamment
efficace pour maintenir les flambées à l’échelon communautaire. Une
transmission interhumaine limitée peut se produire dans certaines
circonstances, par exemple lorsqu’il y a un contact étroit entre une personne
infectée et un dispensateur de soins non protégé. Toutefois, une transmission
limitée dans ces conditions très précises n’indique pas que le virus est
parvenu au degré de transmissibilité nécessaire pour provoquer une pandémie
chez l’homme.
Phase 4 : elle se caractérise par la transmission interhumaine vérifiée d’un virus (ici, grippal) réassorti animal ou animal-humain capable de provoquer des «flambées à l’échelon communautaire». L’aptitude du virus à provoquer des flambées durables de la maladie dans une communauté est le signe d’une majoration importante du risque de pandémie. Tout pays qui soupçonne un tel évènement ou qui l’a vérifié, doit de toute urgence consulter l’OMS afin que la situation puisse être évaluée conjointement et que ce pays puisse prendre une décision si la mise en œuvre d’une opération rapide d’endiguement de la pandémie se justifie.
La phase 4 indique une majoration importante du risque de pandémie mais ne signifie pas nécessairement qu’une pandémie est inéluctable.
(En 2009, ces 3 phases ont été activées en succession extrêmement rapide par l’OMS. En l’espace de quelques semaines, ce changement de phase d’alerte a attiré l’attention des médias internationaux sur le Mexique, berceau de l’épidémie)
Phase 5 : elle se caractérise par une propagation inter-humaine du
virus dans au moins deux pays d’une Région de l’OMS. Si la plupart des pays ne
sont pas touchés à ce stade, la déclaration de la phase 5 est un signal fort
indiquant qu’une pandémie est imminente et qu’il reste peu de temps pour
finaliser l’organisation, la diffusion et la mise en œuvre des mesures
d’atténuation prévues.
Phase 6 : dite aussi phase de pandémie, elle se caractérise par des flambées à l’échelon communautaire dans au moins un pays d’une autre Région de l’OMS en plus des critères définis à la phase 5. La déclaration de cette phase indiquera qu’une pandémie mondiale est en cours.
Phase 7 : Fin de pandémie avec diminution des cas mais reprise possible par vagues.
Au cours de la période suivant le pic de la pandémie, dans la plupart des pays disposant d’une surveillance adéquate, le nombre de cas de la maladie aura chuté au-dessous de celui observé lors du pic. Cette période indique que l’activité pandémique semble décroître ; toutefois, on ne sait pas encore s’il y aura d’autres vagues et les pays devront se préparer à une deuxième vague. Les pandémies antérieures ont été caractérisées par des vagues d’activité s’étalant sur des mois. Une fois que le degré d’activité de la maladie amorce une chute, une tâche de communication essentielle consistera à tempérer cette annonce compte tenu de l’éventualité d’une autre vague. Les vagues pandémiques peuvent être espacées de plusieurs mois et un signal immédiat de « relâchement» serait prématuré.
Coronavirus: niveau de menace maximum pour l’OMS, l’économie mondiale déstabilisée
L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a relevé à son degré maximum le niveau de la menace liée au nouveau coronavirus dont la propagation, qui s’accélère notamment en Corée du Sud et en Iran, déstabilise l’économie mondiale.
L’OMS a porté à « très élevé » le niveau de la menace et a appelé tous les pays encore épargnés à se préparer à l’arrivée du Covid-19, avertissant: se croire à l’abri de la maladie serait une « erreur fatale ».

– Dégringolade boursière –
Dans cette incertitude, les Bourses ont dégringolé vendredi, enregistrant des pertes oscillant entre 3% et 5%. La Bourse de New York a connu une semaine noire, avec un Dow Jones en baisse de plus de 12% sur les cinq derniers jours.
Les marchés financiers connaissent une de leurs pires semaines depuis la crise financière de 2008-2009, qui avait plongé l’économie mondiale dans la récession.
Avions cloués au sol, centres commerciaux déserts en Chine, écoles et parcs d’attraction fermés au Japon, événements ou salons internationaux annulés, le monde s’immobilise à mesure que le nouveau coronavirus se propage et l’économie mondiale est déstabilisée.
L’activité manufacturière en Chine a ainsi touché en février son plus bas niveau jamais enregistré.
A Genève, c’est le Salon de l’automobile, un rendez-vous majeur du secteur, qui a été annulé, puis le symposium annuel de l’Agence mondiale antidopage (AMA) prévu à Lausanne. A Berlin, le Salon international du tourisme prévu du 4 au 8 mars a également été annulé.
– Mesures drastiques –
En Italie, le coronavirus a déjà contaminé 888 personnes, dont 21 mortellement. Le pays est devenu une plateforme de diffusion du Covid-19.
Rome a pris des mesures drastiques pour enrayer l’épidémie sur son territoire, comme la fermeture des écoles, l’annulation d’événements sportifs ou culturels et la mise en quarantaine de 11 communes du Nord, poumon économique du pays.
Les autorités chinoises ont publié samedi un bilan de 427 nouveaux cas et de 47 morts, pour un total de 79.251 cas et 2.835 décès depuis le début de l’épidémie.
Dans le reste du monde, le coronavirus a contaminé plus de 5.000 personnes et fait plus de 80 morts.
Chiffre encourageant toutefois: sur les 84.000 personnes à avoir été contaminées dans le monde, 36.500 sont déjà guéries, selon un décompte effectué par l’université Johns Hopkins aux Etats-Unis, qui compile des données de l’OMS et des autorités sanitaires de chaque pays.
……………..Conclusion…………….
A ce jour, des milliers de cas de Coronavirus ont été signalés en Chine mais également dans les pays suivants :
- Afghanistan
- Algérie
- Allemagne
- Andorre
- Arabie Saoudite
- Argentine
- Arménie
- Australie
- Autriche
- Azerbaïdjan
- Bahreïn
- Belgique
- Biélorussie
- Brésil
- Cambodge
- Canada
- Chili
- Chine (continentale)
- Corée du sud
- Croatie
- Danemark
- Égypte
- Équateur
- Émirats arabes unis
- Espagne
- Estonie
- États-Unis d’Amérique
- Finlande
- France
- Grèce
- Géorgie
- Hong Kong
- Inde
- Indonésie
- Irak
- Iran
- Irlande
- Islande
- Israel
- Italie
- Japon
- Jordanie
- Koweït
- Liban
- Luxembourg
- Macao
- Macédoine du Nord
- Malaisie
- Maroc
- Mexique
- Monaco
- Népal
- Nigeria
- Norvège
- Nouvelle-Zélande
- Oman
- Pakistan
- Pays-Bas
- Philippines
- Pologne
- Portugal
- Qatar
- République dominicaine
- République tchèque
- Roumanie
- Royaume-Uni
- Russie
- Saint-Marin
- Sénégal
- Singapour
- Sri Lanka
- Suède
- Suisse
- Taiwan
- Thaïlande
- Tunisie
- Ukraine
- Vietnam
Trouver un vaccin contre coronavirus : C’est un combat en apparence inégal.
Face à la rapidité de la propagation, la course pour découvrir un vaccin efficace s’annonce comme un marathon de longue haleine. Des chercheurs universitaires, des laboratoires pharmaceutiques et des start-up spécialisées sont pourtant mobilisés dans le monde entier depuis le 10 janvier, date à laquelle des scientifiques chinois ont rendu public le génome de ce cousin “germain” du Sras, le syndrome respiratoire aigu sévère qui avait entraîné la mort d’environ 800 personnes entre 2002 et 2003.
Si l’histoire venait à se répéter, il faudrait attendre des mois, voire des années avant qu’un vaccin soit disponible pour traiter les malades. Dans le cas du Sras, il avait été mis au point au bout de 20 mois et n’a jamais été utilisé car l’épidémie avait pu être éradiquée avant. Le Mers, le coronavirus du syndrome respiratoire du Moyen-Orient, apparu en 2012 et qui a presque totalement disparu, attend toujours son vaccin.
À chaque apparition d’un nouveau virus, les scientifiques se retrouvent devant une page blanche. C’est le cas avec le coronavirus de Wuhan. À l’heure actuelle, les équipes scientifiques tentent d’identifier les types de cellules cultivées en laboratoire qui sont sensibles à cet agent pathogène. Une fois cette étape franchie, les chercheurs disposeront de modèles d’infections permettant l’amplification des virus nécessaire à l’évaluation de vaccin candidat et de molécules thérapeutiques.
La communauté scientifique pense pouvoir atteindre des résultats plus vite que lors des dernières épidémies. D’abord parce que la collaboration internationale est bien mieux organisée qu’en 2002. Depuis 2016, il existe même une alliance internationale pour l’innovation dans la recherche de vaccin – le Cepi – dont le but est de financer les efforts de lutte contre les pandémies. Elle a annoncé, le 23 janvier, l’octroi de 13,5 millions de dollars à trois équipes de recherche pour accélérer le développement d’un vaccin.
La science a aussi appris des tâtonnements de la recherche après l’avènement du Sras et du Mers. Du fait des travaux déjà effectuées “il y a une véritable expertise aujourd’hui avec des nouvelles technologies disponibles offrant plusieurs options de vaccins”, souligne Manuel Rosa-Calatrava. La proximité génétique entre le coronavirus de Wuhan et le Syndrome respiratoire aigu sévère de 2002 ajoute une corde à l’arc des chercheurs. Ainsi, une équipe de l’Institut national américain (NIH) de la santé avait développé une méthode spécifique pour élaborer des vaccins contre le Sras, qui peut servir de modèle pour travailler sur le nouveau coronavirus et ainsi accélérer le processus.
Autant d’éléments qui font que des équipes de scientifiques espèrent pouvoir trouver un vaccin candidat en 16 semaines.
Mais ce ne serait qu’une première étape. Il faudra ensuite soumettre le précieux remède à une batterie de tests cliniques, aussi bien sur des animaux que sur des êtres humains. Le nouveau vaccin doit aussi obtenir les autorisations réglementaires nécessaires pour pouvoir être mis sur le marché. Dans le meilleur des cas, un vaccin pourrait être disponible l’année prochaine selon le magazine de l’Association américaine pour l’avancement des sciences.
Les vaccins ne sont, cependant, pas la seule réponse à un virus comme celui-ci. La Commission nationale de la santé de la Chine a déclaré qu’un médicament anti-VIH associant deux molécules – le lopinavir et le ritonavir – pouvait être utilisé pour les patients atteints du Coronavirus. A l’heure actuelle des chercheurs se penchent sur un usage couplé de ce médicament antirétroviral et de l’interféron, une combinaison utilisée sur le coronavirus dans un essai clinique en cours. Une autre option exploite également la piste d’un antiviral ayant servi dans le passé pour Ebola. Les auteurs de cette étude parue dans la prestigieuse revue Nature jugent la piste encourageante mais de nouveaux essais doivent encore être menés.
Si un médicament antiviral était mis sur le marché, le taux de guérison pourrait ainsi s’envoler. Un tel traitement permettrait également d’endiguer efficacement l’épidémie, car aujourd’hui, les autorités doivent surtout se contenter de réponses non sanitaires, comme les quarantaines. En dehors de la Chine, de nombreuses équipes sont donc à l’œuvre pour trouver une solution thérapeutique, par exemple à l’institut Pasteur à Paris ou à l’Institut Rega de Louvain (Belgique). Pour être efficace, un antiviral peut par exemple inhiber les enzymes nécessaires au virus pour se dupliquer (protéase pour le VIH, neuraminidase pour la grippe).
Il est donc inutile de perdre du temps avec les différents remèdes évoqués sur les réseaux sociaux (fenouil, whisky et miel, homéopathie…). Leur usage ne permet en aucune manière de contrer la réplication du Coronavirus dans les cellules !
Malgré la propagation rapide du virus il n’y a pas de raisons de s’alarmer même s’il n’existe pas encore de traitement contre le Coronavirus car on peut en guérir.
En effet on guérit du coronavirus, comme on guérit de nombreuses maladies respiratoires infectieuses. A ce jour, plus de 42 000 cas ont été confirmés en Chine, selon ce bilan en temps réel dressé par une équipe américaine. Au total, 1 011 patients sont morts de l’infection et le nombre de personnes guéries est désormais de 4 061.
Les guérisons sont même l’immense majorité des cas. Le taux de létalité du nouveau coronavirus est aujourd’hui évalué autour de 2 ou de 2,2%, contre 4% ou 5% au début de l’épidémie.
Pour conclure :
« Il n’est pas de plus dangereuse maladie que la perte du bon sens. »
Proverbe oriental
… à bon entendeur…
Et pour finir :
ATTENTION !!!!
- Nous ne voulons alarmer personne mais le Coronavirus s’est propagé de façon irréversible.
Les premiers moyens de contagion sont les billets de banque :
Surtout :
- Ne les touchez pas.
- Prenez les avec des gants et mettez-les dans une enveloppe hermétique
- Laissez les devant votre porte.
Demain matin, nous passerons pour la collecte et l’élimination.
Nous le faisons pour la santé publique !
Ne nous remerciez surtout pas , C’est normal !
Votre équipe de choc Jade, Leilani, Aurore et Ricardo
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